Le décès de l’artiste béninois Praouda, survenu dans la nuit du 25 au 26 décembre 2024, continue de susciter des débats et des controverses. Décédé au Centre National Hospitalier et Universitaire HKM, ce qui a été répandu sur la toile au sujet de la cause de sa mort, est l’AVC. Mais plus tard, cette cause a été rapidement balayée d’un revers de main. Sa femme est accusée de l’avoir tué.
Selon la famille de Praouda, l’artiste aurait eu des disputes avec sa femme quelques minutes avant le malaise ayant conduit à sa mort. La femme est accusée d’avoir tué son mari après lui avoir assené des coups sur la tête. La famille raconte également que la femme a défoncé la porte de la maison de Praouda après son décès, et a ramassé tous ses effets à elle ainsi que les effets de Praouda. Approchée par Madame actu, dame Merveille, la femme en question s’inscrit en faux. Elle a livré sa version des faits qui est tout à fait contraire à ce qui se racontait sur la toile. Elle indique que même à l’hôpital, les médecins ont déclaré que l’artiste n’a reçu aucun coups sur la tête, et qu’il s’agit bien d’une crise d’AVC.
« Je n’ai pas défoncé les Portes de la Maison de Praouda. J’ai la seconde clé…C’est en leur présence que je me suis rendue dans la Maison avec mes parents. Je n’ai pas pris l’ordinateur de Praouda », a-t-elle déclaré. La femme indique qu’elle n’a même pas été autorisée à prendre ses propres effets. La famille de Praouda lui aurait refusé de prendre quoi que ce soit. Selon les faits racontés par la femme de l’artiste, Praouda même ne serait pas en de très bons termes avec certains membres de sa famille avant sa mort. Elle indique aussi que c’est elle-même qui a demandé l’autopsie du corps de Praouda afin que la lumière soit faite sur la véritable cause de sa mort, et qu’elle puisse prouver son innocence. Selon dame Merveille, tout ce qui intéresse la famille de Praouda, ce sont les biens matériels du défunt. Notons que l’affaire est devant les autorités judiciaires, et la femme accusée à tort ou à raison, promet de publier toutes les preuves de ses dires, plus tard.
